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Unionize Amazon KCVG Unionize Amazon KCVG

Union rally and family day brings out 200 to support our campaign!

Last month, workers from KCVG were joined by family and friends, faith and community organizations, and more than 17 local unions to celebrate the campaign to unionize Amazon.

The event was joyful, multi-lingual, and showed the diverse communities that our coworkers at KCVG represent. Food was provided by Taqueria Ramirez and East African Restaurant, and we were treated to a dance performance by Ghanian dance troupe Bi-Okoto.

The entire community showed up to say that what happens at KCVG matters for everyone.

We heard from the wife of an organizing committee member who explained that winning 180 hours of PTO would mean her husband could spend more time with her and their two kids.

We heard from members of the Kentucky African Women's Association who described how essential it is for all workers, regardless of language or background, to fight hand in hand for a union.

The event was such an inspiration and we're excited to continue to bring our coworkers together to fight for the workplace we deserve.

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LA VÉRITÉ SUR LES« RELATIONS D’EMPLOYÉS »

Depuis le mois d’octobre dernier, Amazon fait venir des dizaines de gestionnaires spécialisés en ressources humaines de différentes régions du pays, à KCVG. Ces visites ont commencé peu de temps après que l’entreprise ait annoncé une augmentation de 0,50 $, pour « contrer la hausse du cout de la vie ». La direction avait aussi rejeté une pétition signée par près de 400 de nos collègues demandant le retour du bonus de 2 $/heure que nous avions reçu lors de la période de pointe de 2021.

Un responsable a commenté : « C’est bon signe que ces spécialistes soient impliquées. Quand j’étais à (un autre établissement de la région), les choses ont vraiment commencé à changer lorsque la direction a fait venir des responsables en relations pour nous écouter. » En réalité, rien n’a fondamentalement changé depuis la période de pointe en 2022. Les opérations quotidiennes à KCVG se sont considérablement détériorées, nous sommes régulièrement appelés en renfort avec moins d’une heure de préavis et le moral est au plus bas. Des centaines de nos collègues ont quitté leur poste durant l’année.

QUE SONT LES RELATIONS D’EMPLOYÉS ?

Rendu à ce stade, vous avez probablement assisté à une réunion de relations avec les employés : une assemblée générale des employés, une réunion de discussion sur les anniversaires ou une réunion spécifiquement consacrée à notre campagne syndicale. Vous avez probablement également vu ou discuté en tête-à-tête avec quelqu’un vêtu d’un gilet rouge portant l’inscription « LEADEURSHIP, COMMENT PUIS-JE AIDER ? » dans le dos. Ce sont des responsables des relations avec les employés. Leur travail consiste à évaluer les préoccupations de nos collègues sur le lieu de travail, non pas pour changer fondamentalement les choses, mais pour nous influencer contre le syndicat et les travailleurs qui sont considérés comme des leadeurs, afin de les éloigner de leur soutien au syndicat et que d’autres les suivent.

En réalité, la gestion des relations avec les employés est un domaine des ressources humaines qui vise à miner et à empêcher la syndicalisation. D’ici 2027, on estime que le secteur de la gestion des relations avec les employés aura une valeur de plus de 38 milliards de dollars. Rien que l’année dernière, Amazon a dépensé plus de 14 millions de dollars pour des consultants externes chargés d’éviter les syndicats afin de contrecarrer les campagnes syndicales en Alabama et à New York.

Dans le livre de Martin J. Levitt, qui a travaillé pendant des décennies en tant que consultant antisyndical, il est écrit : « Je gagnais 200 000 dollars par an et vivais sur une propriété boisée de cinq acres dans une communauté exclusive. Je voyageais, je dinais et séjournais en première classe, et je ne conduisais que les voitures de luxe les plus fines. À ce moment-là, j’avais dirigé plus de 200 campagnes antisyndicales et n’en avais perdu que cinq, et j’avais formé des gestionnaires opportunistes pour qu’ils fassent de même dans leurs propres entreprises. Non, ce n’est pas le besoin qui m’a poussé à quitter le terrain. C’est l’horreur et le remords qui m’ont poussé. »

Comment Amazon peut-elle qualifier notre syndicat, dirigé par nos collègues, de tierce partie alors que l’entreprise dépense des millions pour briser les syndicats ?

Sous une critique généralisée, y compris des centaines d’accusations de pratiques syndicales déloyales de la part du National Labor Relations Board (Bureau national de relations de travail), Amazon gère de plus en plus sa lutte contre les syndicats en interne en embauchant plus de 120 employés des relations d’employés, dont au moins 50 gestionnaires des relations d’employés à travers les États-Unis.

Cela inclut Ronnie Talbert, qui a dirigé bon nombre des récentes réunions des relations d’employés. Avant de travailler chez Amazon, Ronnie a passé 25 ans à s’attaquer aux syndicats dans l’Indiana, l’Ohio et le Tennessee pour une société notoirement antiouvrière, Bridgestone Tires. Lors des négociations syndicales, Ronnie a exigé de réduire les salaires à 13 dollars de l’heure pour un tiers de la main-d’œuvre, de réduire de moitié les prestations d’assurance-chômage sans préavis, et de remplacer les régimes de retraite sécurisés par des plans d’épargnes et retraites (401 k) risqués.

Au stade actuel, des dizaines de gestionnaires des relations d’employés sont venus à KCVG pour saper le désir de milliers de travailleurs d’obtenir un salaire décent de 30 dollars de l’heure, de meilleures conditions de travail, plus de congés payés et une représentation syndicale pour mettre fin aux représailles et abus disciplinaires.

LA STRATÉGIE D’AMAZON POUR BRISER LES SYNDICATS.

Nathan Shefferman, connu sous le nom de « père fondateur de la lutte antisyndicale », a inventé bon nombre des méthodes utilisées par de grandes entreprises comme Amazon pour repousser les syndicats, y compris la « Table ronde des employés ». Ces réunions sont soigneusement annoncées par la direction comme des espaces accueillants où nos collègues peuvent exprimer ouvertement leurs plaintes sans craindre de représailles. L’intention réelle de ces réunions est en fait de permettre aux spécialistes de relations d’employés et à la direction de se mettre au courant des informations informelles et à la culture de travail de notre établissement afin d’identifier les travailleurs considérés comme des leadeurs dans leurs départements. La direction veut identifier ceux qui penchent en faveur du syndicat et les équipes sur lesquelles Amazon doit concentrer ses efforts antisyndicaux.

Bien qu’il soit illégal en vertu du droit fédéral du travail pour Amazon d’exiger que les travailleurs assistent à des réunions « captives » antisyndicales, la direction joue sur une corde raide en nous surveillant lors de ces réunions et en disant parfois aux travailleurs qu’elles sont obligatoires.

Vous avez le droit de refuser de participer à ces réunions, mais nous encourageons les travailleurs favorables au syndicat à contester les arguments antisyndicaux de la direction. Dans de nombreux cas, les travailleurs sont sortis de ces réunions plus favorables au syndicat, certains signant même une carte syndicale le jour même.

Les informations recueillies lors des Tables rondes d’employés et des conversations individuelles avec les travailleurs sont transmises à la direction à tous les niveaux. Les gestionnaires de zone ont récemment suivi une formation antisyndicale afin d’identifier les travailleurs favorables au syndicat et de transmettre des informations aux Relations d’employés. Ces derniers s’en servent pour affiner leur discours antisyndical et aider la direction à établir de meilleures relations de travail avec leurs employés sans apporter de changement concret qui pourrait affecter la productivité et les bénéfices d’Amazon.

NE LAISSONS PAS AMAZON NOUS DIVISER !

Bien que les réunions des Relations d’employés aient convaincu certains de nos collègues de la nécessité d’un syndicat, elles ont également semé la peur et le doute à l’égard de notre syndicat. Les réunions nous qualifient comme une « entreprise », en mentant aux travailleurs sur les cotisations syndicales et en prétendant que le syndicat supprimerait nos avantages.

Il est crucial que nous confrontions les mensonges d’Amazon lors de ces réunions et que nous convainquions nos collègues de ce qui est possible avec un syndicat lorsque nous nous battons ensemble.

Ces derniers mois, Amazon a concentré son personnel des Relations d’employés sur notre lieu de travail et au centre de traitement RDU1 en Caroline du Nord où les travailleurs s’organisent se syndiquer. Amazon a même fait venir des gestionnaires de KCVG à Dallas-Fort Worth pour une formation spécialisée en Relations d’employés. À l’avenir, Amazon utilisera de plus en plus les gestionnaires de secteur pour essayer de nous diviser et forcer les assistants d’organisation et les travailleurs de niveau 1 considérés comme des leadeurs à lutter contre le syndicat.

Bien que certains de ces gestionnaires de secteur puissent être mal à l’aise avec le rôle qu’ils doivent jouer contre le syndicat, d’autres l’accepteront avec enthousiasme et le verront comme une opportunité pour gravir les échelons. Nous parlons beaucoup de « bons » et de « mauvais » gestionnaires au travail, mais, quelle que soit votre opinion sur un gestionnaire en particulier ou que vous les considériez comme un défenseur de certains travailleurs ou de leurs favoris, nous devons prendre conscience du rôle destructeur qu’Amazon leur demande de jouer contre notre campagne syndicale. Amazon met leur carrière en jeu pour défendre les profits d’Amazon.

STOPPONS LA RÉPRESSION SYNDICALE D’AMAZON

  • Enregistrez vos conversations avec la direction : vous en avez le droit. En vertu de la loi nationale sur les relations de travail, on peut enregistrer toutes les conversations avec la direction concernant l’activité syndicale. Si vous participez à une réunion de table ronde ou à une conversation individuelle avec les Relations d’employés ou la direction, enregistrez-la. Dans cette situation, on vous encourage à parler des prochaines étapes à suivre à un collègue impliqué dans la campagne syndicale. Amazon a peut-être enfreint la loi fédérale du travail lors de cette conversation et il est important que nous documentions leur activité et signalions toute violation au bureau national des relations du travail (National Labor Relations Board).

  • Signez une carte syndicale dès aujourd’hui : venez nous trouver à une table syndicale et signez une carte d’autorisation syndicale afin que nous puissions voter OUI pour un syndicat à KCVG !

  • Participez à une réunion d’orientation syndicale : pour remporter notre syndicat indépendant dirigé par les travailleurs, nous avons besoin de la participation de tous. Assister à une réunion d’orientation est une excellente première étape pour s’impliquer activement dans la campagne !

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THE TRUTH ABOUT “EMPLOYEE RELATIONS”

Since last October, Amazon has flown in dozens of Employee Relations Managers from across the country to KCVG. These visits began shortly after the company announced an insulting $0.50 “cost-of-living” raise and management rejected a petition of nearly 400 of our coworkers to bring back the $2/hr Peak Pay that we received during Peak 2021.

One manager commented “It’s a good sign that ERC is getting involved. When I was at (another facility in the area) things really started to change when management brought Employee Relations in to hear our concerns.” In reality, nothing has fundamentally changed since Peak 2022. The day-to-day operations at KCVG have gotten significantly worse, we are regularly flexed-up with less than an hours’ notice, and morale is lower than ever with hundreds of our coworkers who opened this facility quitting since last year.

WHAT IS EMPLOYEE RELATIONS?

By now, you have probably attended an Employee Relations meeting: an Employee Town Hall, a Birthday Roundtable meeting, or a meeting specifically about our union campaign. You have also probably seen or talked one-on-one with someone in a red vest with “LEADERSHIP, HOW CAN I HELP?” on the back. Those are Employee Relations Managers. Their job is to gauge our coworkers’ concerns in the workplace, not to fundamentally change anything but to sway us against the union and workers that are seen as leaders away from supporting the union so that others will follow their lead.

In reality, Employee Relations Management is a field of Human Resources that is dedicated to undermining and preventing unionization. By 2027, it is estimated that the Employee Relations Management field will be worth over $38 billion. Last year alone, Amazon spent over $14 million dollars on third-party union-avoidance consultants to attack the union campaigns in Alabama and New York.

In the book Confessions of a Union Buster (1993) by Martin J. Levitt who worked as an anti-union consultant for decades, he writes: “I was making $200,000 a year and living on a five-acre wooded estate in an exclusive community. I traveled, dined and lodged first class, and drove only the finest luxury cars. By then I had directed more than 200 anti-union campaigns, and lost only five, and had trained craven managers to go and do likewise at their own companies. No, I was not driven from the field by need. I was driven by horror and remorse.”

How can Amazon call our union, led by our co-workers, a third party when the company spends millions on Union-busting?

Under widespread criticism including hundreds of unfair labor practice charges from the National Labor Relations Board, Amazon has increasingly handled their union-busting in-house by hiring over 120 Employee Relations staff including at least 50 Employee Relations Managers across the U.S.

This includes Ronnie Talbert, who has led many of the recent Employee Relations meetings. Before getting a job at Amazon, Ronnie spent 25 years attacking unions in Indiana, Ohio, and Tennessee for Bridgestone Tires, a notoriously anti-worker corporation. In union negotiations, Ronnie demanded cutting wages to $13/hr for 33% of the workforce, cutting unemployment benefits in half without notice, and replacing secure pensions with risky 401k plans.

By now, dozens of Employee Relations Managers have visited KCVG to undermine thousands of workers' desire for a living wage of $30 an hour, better working conditions, more paid time off, and union representation to end retaliation and favoritism.

AMAZON’S UNION BUSTING PLAYBOOK

Nathan Shefferman, known as the “founding father of union busting”, came up with many of the methods used by major corporations like Amazon to fend off unions including the ‘Employee Roundtable’. These meetings are carefully advertised by management as welcoming spaces where our coworkers are allowed to air their grievances openly without threat of retaliation. The actual intention of these meetings is to give Employee Relations and management a way to tap into the grapevine of the informal workplace culture at our facility in order to identify which workers are seen as leaders in their departments, which workers are leaning toward the union, and which shifts Amazon needs to concentrate their anti-union efforts.

Although it is illegal under federal labor law for Amazon to require workers to attend anti-union “captive audience” meetings, management walks a fine line by labor-tracking us during the meetings and in some cases telling workers that the meetings are mandatory. It is your right to refuse to attend these meetings but we encourage pro-union workers to push back on management’s anti-union talking points, and in many cases workers have walked away from these meetings more supportive of the union and even signed a union card the same day.

The information gathered from Employee Roundtables and one-on-one conversations with workers is fed back to management at all levels, specifically Area Managers who have recently undergone union-busting training in order to identify pro-union workers and feed information back to Employee Relations in order to refine their anti-union messaging and assist management in building better working relations with their employees without implementing any lasting change that would impact Amazon’s productivity and profits.

DON’T LET AMAZON DIVIDE US!

While the Employee Relations meetings have convinced some of our coworkers of the need for a union, they have also instilled fear and doubt in our union by smearing the union as a “business”, lying to workers about union dues, and claiming that the union will take away our benefits.

It’s crucial that we confront Amazon’s lies in these meetings and convince our coworkers of what is possible with a union when we fight for it.

In recent months Amazon has concentrated their Employee Relations staff on our workplace and on the RDU1 Fulfillment Center in North Carolina where workers are organizing for a union. Amazon has even flown Area Managers at KCVG out to Dallas-Fort Worth for specialized Employee Relations training. From now on, Area Managers will increasingly be used by Amazon to try to divide us and coerce Process Assistants and Tier 1 workers that are seen as leaders to fight against the union.

While a few of these AMs might be uncomfortable with the role they have to play against the union, others will take it up enthusiastically and see it as an opportunity to climb the ladder. We talk a lot about ‘good’ and ‘bad’ managers at work, but no matter how you feel about a particular manager or see them as an advocate for some workers or their favorites, we need to realize the destructive role that Amazon is requiring them to play against our union campaign that places their career on the line in order to defend Amazon’s profits.

STOP AMAZON’S UNION BUSTING

  • Record Your Conversations with Management: It is your right under the National Labor Relations Act to record any conversations with management relating to union activity. If you are in a Roundtable meeting or one-on-one conversation with Employee Relations or management, record it and talk to a coworker involved in the union campaign about next steps. Amazon may have violated federal labor law in this conversation and it is important that we document their activity and report any violations to the National Labor Relations Board

  • Sign a union card today: Come find us at a union table and sign a union authorization card so we can vote YES for a union at KCVG!

  • Attend a union orientation: To win our independent, worker-led union, we need everyone involved. Attending an orientation is a great first step to getting actively involved in the campaign!

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Get the FACTS from Coworkers NOT Management

Management at KCVG is now bringing us into closed-door “captive audience” meetings with high-paid Third Party union-busting consultants. Despite how they make it seem, these meetings are not mandatory. They assure us it’s our decision to unionize, while spreading lies about our union. We’re Amazon Labor Union KCVG and we say: Get the facts from us, your coworkers, NOT management.

Management at KCVG is now bringing us into closed-door “captive audience” meetings with high-paid Third Party union-busting consultants. Despite how they make it seem, these meetings are not mandatory. They assure us it’s our decision to unionize, while spreading lies about our union. We’re Amazon Labor Union KCVG and we say: Get the facts from us, your coworkers, NOT management.

MANAGEMENT SAYS: “Amazon Labor Union is a third party business.”

THE FACTS: The union is NOT a business, that’s Amazon. Our union is Amazon workers at KCVG fighting together for demands that we democratically decide on like a $30/hr starting wage. Amazon Labor Union was the first union ever to win at Amazon last year in New York, where workers are also demanding $30/hr.

It’s Amazon who pays Third Party union busting consultants to spread gossip and lies about our worker-led union. In 2022, Amazon spent $14 million on Third Party union busters instead of paying us $30/hr.

Our union raising money to fight for our coworkers is not the same as Amazon making $1.3 billion a day and paying their executives billions of dollars, all off our hard work.

MANAGEMENT SAYS: “The union makes promises it can’t keep.”

THE FACTS: It’s Amazon who makes promises they don’t keep, like making our safety and wellbeing their top priority. We’re demanding a $30/hr starting wage, 180 hours paid time off, and union representation at all disciplinary meetings to end favoritism and retaliation, and more. And demands are NOT promises.

Demands are clear goals that we democratically discussed and voted to fight for as a union. Amazon is opposed to our demands because they will cut into their billionaire executives’ profits. Winning a union won’t mean we automatically win our demands, but it gives us the ability to collectively fight for them. The only reason ALU hasn’t won a contract yet in New York is because Amazon is doing everything they can to stall and resist contract negotiations, including breaking the law. The more Amazon facilities that unionize, the more power we will have to win our demands and strong contract.

MANAGEMENT SAYS: “The union only cares about dues.”

THE FACTS: Dues make our union strong by giving us the resources we need to win our demands and defend us from retaliation. Before we start paying, we’ll vote on the amount, which will always be significantly less than the raise we’ll win in our first union contract. For example, a $5/hr raise would mean $800 more per month for a full-time worker. Your dues will be a small fraction of the raise in your paycheck.

The finances of our union are democratically discussed and transparent to members - unlike Amazon's. If we elect full-time officers, organizers, or staff, they’ll never be paid more than the average wage of a KCVG worker.

MANAGEMENT SAYS: “If you unionize, you could get more, the same, or less in wages and benefits.”

THE FACTS: It is illegal for Amazon to lower and take away, or threaten to lower and take away, wages and benefits we already have just because we’re unionizing. Amazon loves to talk about their open and direct lines of communication workers have with management, but that’s never gotten us higher wages, paid time off, better benefits or job security. To win real change, we need a union.

Without a union, we have no actual say in the terms of our employment. After we unionize, Amazon is legally required to negotiate over wages, benefits, and working conditions. Every contract will be subject to a full democratic vote by the entire union membership. Why would we vote for a contract with worse benefits than we currently have? We wouldn’t. If we unionize and fight for it, we will only get more.

What should you do if you are invited to a “captive audience” meeting?

  1. Text the union hotline immediately: 859-212-6896

  2. Do your own research on the union’s material

  3. Plan what to say to the union-busting consultants with your coworkers

  4. Speak up in the “captive audience” meeting. Expose anti-union lies.

  5. Sign up for a union orientation. Scan the QR code

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Support our union

Did you know that Amazon made $30 billion in profits last year? Our union campaign is funded entirely by working people like you, unions, and community groups.